episode 10.1.bis.2

Avez-vous remarqué que lorsque Lebron James lance le ballon dans le panier, il a l’air de voler ?

Et si Lebron James était la preuve d’un complot mondial des oiseaux visant à tous nous dominer ? Lebron James, le meilleur joueur de basket de la planète, pour ceux qui ne le savent pas, a joué dans deux villes : Miami et Cleveland. Que trouve-t-on pile poil entre ces deux villes ? Cette animalerie, spécialiste des oiseaux :

De plus, le nom Lebron James compte quatre voyelles et sept consonnes. Or la quatrième lettre de l'alphabet est un D et la septième est un G : rien d’étonnant, les geais sont des oiseaux d’Europe de l’Est.

Mais si ce n’était que cela ... Dès que Lebron James joue on le compare à Batman, qui est le super-héros des oiseaux ! De plus, le seul basketteur à avoir toujours joué dans la même équipe que Lebron James est surnommé « Birdman », traduisez « l’homme-oiseau » !

Et comme si tous ces éléments ne suffisaient pas, Lebron James a participé au dernier All-Star Game (un célèbre match annuel opposant les meilleurs joueurs étatsuniens) qui s’est déroulé à la Nouvelle Orléans, mondialement connue pour son équipe qui a pour emblème un.....pélican !

Il ne faut pas non plus oublier dans quelle équipe joue actuellement Lebron James : il s’agit des Cleveland Cavaliers. Or, Cleveland est situé en Ohio et a pour capitale Columbus -- sans aucun doute une référence à la colombe. Par ailleurs, « Cleveland Cavaliers » compte dix-huit lettres et Lebron James a joué pendant 10 saisons avec l’équipe. Si on soustrait 10 de 18, on obtient 8. Et quel est le huitième commandement ? « Tu ne voleras point » Coïncidence ? Je ne crois pas !

Enfin, quand on regarde cette photographie, qu’est-ce qui saute aux yeux ?

Bien vu ! Lebron James ose même maintenant se déguiser en Batman ! De toute évidence, il s’agit là d’un signal clair envoyé aux oiseaux du monde entier. Et s'il vous fallait encore une preuve : Cleveland Cavaliers a pour abréviation C.C., ce qui correspond à CUI CUI !

Guillaume et Julien, lycée Gaston Bachelard, seconde 3

Mis en ligne le 26 mai 2017