Les Rocambolesques
roman-feuilleton collectif arborescent à contraintes
Les policiers de la petite ville de Lacrêpière entament la dernière journée de recherches des deux jeunes femmes.
« Où en sont les recherches ? Dit un policier
- Toujours aucune nouvelle, lui répondit un autre.
- Avez-vous cherché dans la zone du Parc d’attraction abandonné ?
- Non ,justement, nous comptions y envoyer des hommes aujourd’hui.
- Très bien, faites vite. »
Les policiers arrivent dans le Parc d’attraction et pendant ce temps Creepy, qui avait emmené Katarina avec lui, se trouvait dans le kiosque de tir. Il regarde Katarina, vêtue d’une vieille robe à fleurs des années 30, seule robe correcte qu’il lui a trouvée.
Les policiers fouillent les alentours du Grand Huit et quelques restaurants :
« -J’ai trouvé !dit un policier.
- Non… Ce sont des hérissons, dit un autre. »
Ils cherchent donc pendant trois heures avant de s’arrêter pour manger à coté d’un stand de pêche aux canards.
Creepy donne un sandwich à Katarina et les deux personnages mangent leur sandwich en regardant les policiers jouer à la pêche aux canards. Creepy regarde Katarina.
Puis il sourit en lui-même car il venait de surprendre dans ses yeux l’invite que tout homme pouvait y lire.
« Gné hé hé !!! »Dit-il.
« Eh , vous ! Dit un policier, vous êtes Lisa, n’est-ce pas ?
- Hein, dit Creepy, non... enfin… oui...non…
- Oui cri Katarina, elle...il… a une double personnalité masculine et psychopathe !
- Salope ! Dit Lisa, je t’avais demandé de ne jamais le dire !
- Désolée, mais c’est pas moi qui ait donné une vieille robe à fleurs des années 30 à mon amie d’enfance qui s’occupait quasiment tout le temps de moi !
- Ca suffit ! dit un officier qui venait d’arriver, arrêtez de vous chamailler les gonzesses !
Vos familles s’inquiètent pour vous depuis des mois et vous vous chamaillez pour un secret et une robe ! »