Les Rocambolesques
roman-feuilleton collectif arborescent à contraintes
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De retour sur la période lycéenne de notre héroïne, elle est dans sa chambre, la poupée entre ses bras.
Elle est assise sur son lit mezzanine en bois, elle contemple son panneau de liège, rempli de photographies d’elle avec sa famille.Elle n’a qu’une seule amie : Lisa, qu’elle aide fréquemment et qui est très sympathique et reconnaissante envers elle...
Mais elle ne sait pas qui sont ses parents, elle ne se souvient pas d’eux, ni s’ils apparaissent sur ne serait-ce que l’une de ses photos.Elle n’a jamais osé demander à sa grand-mère qui étaient ses parents, et Petrouska n’a jamais osé le dire à sa petite fille, par peur de la rendre triste.
De sa vie d’avant, Katarina ne se souvient que de son oncle Rami, qui aimait les lieux abandonnés comme elle et qui avait l’habitude de l’appeler Cassandra, ainsi que cette poupée qu’il lui a offerte et qu'elle tient dans ses bras.
Aujourd'hui, elle s'ennuie et décide de partir dans un de ces lieux abandonnés qu'elle affectionne tant.
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S’ensuit une exploration nocturne pleine de surprises.